Étude BURAN de buparlisib (AN2025) en association avec paclitaxel par rapport à paclitaxel seul, chez des patients atteints d’un carcinome épidermoïde de la tête et du cou récurrent ou métastatique

Essai clinique

Type : Industriel
Statut : Ouvert
Phase : III
Étape du traitement : Traitements combinés
Étape de prise en charge : Entretien
Date d'ouverture : 12/12/2020
Date clôture : 30/06/2025
Promoteur : Adlai Nortye USA Inc.
Progression du cancer: Loco-régional et à distance
Résumé :

L’étude BURAN est une étude de phase III randomisée, en ouvert, visant à évaluer l’effet du traitement par buparlisib administré une fois par jour en association avec paclitaxel une fois par semaine par rapport au paclitaxel administré une fois par semaine seul chez des patients atteints d’un carcinome épidermoïde de la tête et du cou (HNSCC) réfractaire, récurrent ou métastatique ayant présenté une progression après une monothérapie anti-PD-1/anti-PD-L1 antérieure, une monothérapie anti-PD-1/anti-PD-L1 antérieure en association avec un traitement à base de platine ou après un traitement séquentiel par une monothérapie anti PD 1/anti PD L1, soit antérieure soit postérieure, à un traitement à base de platine.

Les patients recrutés en France doivent avoir reçu un traitement systémique antérieur pour une maladie récurrente ou métastatique par l’association d’une chimiothérapie à base de platine et d’une fluoropyrimidine (associée au cétuximab si l’expression du PD-L1 était négative par SCP ; ou au pembrolizumab si l’expression du PD-L1 était positive par SCP) avant leur entrée dans l’étude, conformément aux recommandations.

Objectif principal :

  • Évaluer la survie globale (SG) après traitement par buparlisib en association avec paclitaxel par rapport à un traitement par paclitaxel seul chez des patients souffrant de HNSCC réfractaire, récurrent ou métastatique.

Objectifs secondaires :

  • Évaluer les paramètres d’efficacité supplémentaires suivants : survie sans progression (SSP), TRG et DR, par l’investigateur et le Comité d’examen radiologique indépendant (CERI).
  • Évaluer les paramètres d’efficacité dans des sous-groupes de patients définis par les strates de randomisation.
  • Évaluer l’effet de buparlisib en association avec paclitaxel sur les symptômes et la qualité de vie liée à la santé (QVLS) du patient.
  • Évaluer les biomarqueurs de la réponse à buparlisib en association avec paclitaxel.
  • Évaluer la pharmacocinétique (PK) de buparlisib en association avec paclitaxel.

Objectif d’innocuité :

  • Évaluer l’innocuité et la tolérabilité de buparlisib en association avec paclitaxel dans cette population de patients telle qu’évaluées par les Critères de terminologie standard pour les événements indésirables (CTCAE) du National Cancer Institute (NCI) version 5.0.

Objectif exploratoire :

  • Évaluer l’activité du microbiome fécal avant le traitement et la corrélation avec le résultat.

Domaines/spécialités :
  • Cancer de la tête et du cou
Pathologies :
  • Tumeur maligne de siège mal défini de la tête, de la face et du cou - Cim10 : C760
Liens externes :

Critères de population

Sexe : Homme et femme
Age minimum : 18 ans
Critères d’inclusion :

Les patients doivent satisfaire aux critères suivants pour pouvoir participer à l’étude :
1. Âge ≥ 18 ans.
2. Être en mesure de fournir un consentement éclairé obtenu avant toute activité liée à l’étude et conformément aux directives locales.
3. Patient présentant un HNSCC histologiquement et/ou cytologiquement confirmé.
4. Patient disposant de tissu tumoral nouveau ou archivé pour analyse des biomarqueurs et confirmation du statut vis-à-vis du VPH (si inconnu). Un bloc tumoral (de préférence) ou un minimum recommandé de 5 lames non colorées à fournir pour les patients dont le statut vis-à-vis du VPH est connu (pour caractérisation de l’ADN tumoral) ou un minimum recommandé de 10 lames pour les patients dont le statut vis-à-vis du VPH est inconnu (5 lames pour le test du VPH et 5 lames pour les tests des biomarqueurs). Le recrutement dans l’étude est subordonné à la confirmation de la disponibilité d’une quantité adéquate de tissu tumoral, sauf dans de rares circonstances particulières qui doivent être étudiées et approuvées par le promoteur.
5. Patient atteint d’une maladie soit évolutive soit récurrente après un traitement par PDL1/PD1 d’une maladie récurrente ou métastatique :
a. Traitement par PDLl/PD1 uniquement pour une maladie métastatique (monothérapie)
b. Traitement par PDL1/PD1 en association avec une chimiothérapie pour une maladie métastatique et récurrente
c. Traitement par PDL1/PD1 utilisé pour la maladie métastatique, après ou avant administration d’un agent à base de platine pour une maladie localement avancée ou métastatique.
d. Les patients recrutés en France doivent avoir reçu un traitement systémique antérieur pour une maladie récurrente ou métastatique par l’association d’une chimiothérapie à base de platine et d’une fluoropyrimidine (associée au cétuximab si l’expression du PD-L1 était négative par SCP ; ou au pembrolizumab si l’expression du PD-L1 était positive par SCP) avant leur entrée dans l’étude, conformément aux recommandations.
6. Patient n’ayant pas reçu plus de deux lignes antérieures de traitement systémique pour un HNSCC (une monothérapie chimiothérapeutique utilisée comme radiosensibilisant n’est pas considérée comme une ligne de traitement antérieure).
7. Patient présentant une maladie mesurable telle que déterminée par les critères RECIST version 1.1. Si le seul site de maladie mesurable est une lésion précédemment irradiée, progression documentée de la maladie et période de quatre semaines depuis la fin de la radiothérapie sont nécessaires.
8. Patient présente des fonctions médullaire et organique adéquates, comme indiqué ci-dessous :
a. Numération absolue des neutrophiles (NAN) ≥ 1,5 x 109/ L.
b. Hémoglobine ≥ 9 g/dL (qui peut être atteinte par transfusion).
c. Plaquettes ≥ 100 x 109 /L (qui peut être atteinte par transfusion).
d. Rapport international normalisé (RIN) ≤ 1,5.
e. Calcium (corrigé pour l’albumine sérique) dans les limites normales (DLN) ou ≤ sévérité de grade 1 selon les critères NCI-CTCAE version 5.0 si considéré comme cliniquement non significatif par l’investigateur. Les patients prenant simultanément des bisphosphonates ou du dénosumab pour la correction du calcium sont éligibles.
f. Taux normaux de potassium et de calcium.
g. Alanine aminotransférase (AST) et aspartate aminotransférase (ALT) ≤ 1,5 x limite supérieure de la normale (LSN) ou < 3,0 x LSN si des métastases hépatiques sont présentes.
h. Bilirubine sérique totale ≤ LSN ou ≤ 1,5 x LSN si des métastases hépatiques sont présentes ; ou bilirubine totale ≤ 3,0 x LSN avec bilirubine directe inférieure ou égale à la plage normale chez les patients atteints du syndrome de Gilbert bien documenté. Le syndrome de Gilbert est défini comme la présence d’épisodes de hyperbilirubinémie non conjuguée avec des résultats normaux à partir des numérations des cellules sanguines (notamment les numérations réticulocytaires et les frottis sanguins normaux), des résultats normaux des tests de la fonction hépatique et de l’absence d’autres processus de traitement de la maladie au moment du diagnostic.
i. Créatinine sérique ≤ 1,5 x LSN et clairance de la créatinine calculée ou directement mesurée (CrCL) > 30 mL/min.
j. Hémoglobine A1C (hémoglobine glycosylée ; HbA1c) ≤ 8 %.
9. Le patient présente un statut de performance de l’Eastern Cooperative Oncology Group (ECOG) ≤ 1.
10. Le patient est capable d’avaler et de conserver les médicaments oraux. Les patients capables d’avaler des médicaments oraux, mais principalement auto-alimentés par une sonde d’alimentation gastrique ou jéjunale, sont éligibles.
11. Les patients doivent utiliser une contraception hautement efficace pendant toute la durée de l’étude, ainsi qu’après la dose finale du traitement à l’étude, comme indiqué ci-dessous :
a. Les hommes doivent utiliser une méthode contraceptive efficace et ne pas concevoir d’enfant pendant l’étude et pendant une période de six mois après le traitement. Il est recommandé aux hommes de demander conseil quant à la conservation du sperme avant le traitement par le paclitaxel selon l’étiquette du produit. Les partenaires femmes des participants hommes doivent utiliser une contraception hautement efficace avec les participants hommes pendant que ceux-ci reçoivent le traitement et pendant au moins 90 jours après la dernière dose de buparlisib de leur partenaire.
b. Les femmes en âge de procréer, définies comme toutes les femmes physiquement capables de devenir enceintes, doivent utiliser un moyen de contraception hautement efficace pendant l’étude et pendant au moins quatre semaines après la dose finale du traitement à l’étude ou conformément aux directives locales sur la prescription du paclitaxel (par exemple, pendant six mois après la dose finale de paclitaxel selon la notice/le résumé des caractéristiques du produit [RCP] en France et au Royaume-Uni).
c. Une contraception hautement efficace est définie comme suit :
o Abstinence totale : lorsque cela est conforme au mode de vie préféré et habituel du patient. (Une abstinence périodique (par ex., méthodes du calendrier, ovulation, sympto-thermique, de la phase post-ovulatoire) et le retrait ne sont pas des méthodes de contraception acceptables.)
o Stérilisation féminine : lorsque la patiente de l’étude a fait l’objet d’une ovariectomie bilatérale chirurgicale (avec ou sans hystérectomie) ou d’une ligature des trompes au moins six semaines avant de prendre le traitement à l’étude. En cas d’ovariectomie seule, uniquement lorsque le statut reproductif de la femme a été confirmé en effectuant un suivi de l’évaluation des niveaux hormonaux.
o Stérilisation des partenaires masculins (avec documentation appropriée après la vasectomie de l’absence de sperme dans l’éjaculat). Pour les patientes de l’étude, le partenaire masculin qui a fait l’objet de la vasectomie doit être l’unique partenaire de ces patientes.
o Emploi d’une combinaison des éléments suivants (les deux s’appliquent) :
 Pose d’un dispositif intra-utérin (DIU) ou d’un système intra-utérin (SIU) et
 Méthodes contraceptives barrière : préservatif ou pessaire occlusif (diaphragme ou capes cervicales) avec une mousse/un gel/un film/une crème/un suppositoire vaginal spermicide.
Remarque : les méthodes contraceptives hormonales (p. ex., par voie orale, par injection ou par implants) ne sont pas autorisées car le buparlisib diminue l’efficacité des contraceptifs
hormonaux.
Les femmes sont considérées comme post-ménopausées et comme n’étant plus en âge de procréer si elles ont eu 12 mois d’aménorrhée naturelle (spontanée) avec un profil clinique approprié (p. ex. âge approprié, antécédents de symptômes vasomoteurs) ou ont fait l’objet d’une ovariectomie bilatérale chirurgicale (avec ou sans hystérectomie) au moins six semaines avant la sélection. Dans le cas d’une ovariectomie seule, ce n’est que quand le statut reproductif de la femme a été confirmé par le suivi de l’évaluation des niveaux hormonaux qu’elle est considérée comme n’étant plus en âge de procréer.

Critères d’exclusion :

Le patient a reçu un traitement antérieur par des inhibiteurs de la protéine kinase B (PKB/AKT), des inhibiteurs de la mTOR (mammalian target of rapamycin) ou des inhibiteurs de la voie de la phosphatidylinositol 3 kinase (PI3K).
2. Le patient a reçu un traitement par taxane dans le cadre d’un traitement antérieur d’une maladie récurrente ou métastatique.
3. Le patient présente des métastases symptomatiques dans le système nerveux central (SNC). Les patients qui présentent de métastases asymptomatiques dans le SNC peuvent participer à cette étude. Le patient doit avoir suivi un traitement local antérieur pour les métastases du SNC ≥ 28 jours avant le début du traitement à l’étude (notamment une radiothérapie) et doit suivre un traitement à faible dose stable par les corticostéroïdes. La radiochirurgie doit avoir été réalisée au moins 14 jours avant le début du traitement à l’étude.
4. Le patient a reçu une radiothérapie à grand champ ≤ 4 semaines ou une irradiation à champ limité pour des soins palliatifs ≤ 2 semaines avant le début du traitement à l’étude ou a présenté des événements indésirables qui ne sont pas revenus au grade 1 ou mieux depuis la chimiothérapie précédente (à l’exception de l’alopécie, les événements endocriniens auto-immuns doivent être stables et contrôlés).
5. Le patient présente une neuropathie de grade ≥ 2, une colite, une pneumonie et une endocrinopathie non contrôlée (p. ex., une hypothyroïdie, un diabète avec une hémoglobine A1c > 8 %) depuis le traitement précédent.
6. Le patient a fait l’objet d’une intervention chirurgicale importante dans les 14 jours précédant le début du traitement à l’étude ou ne s’est pas rétabli des effets indésirables importants.
7. Le patient reçoit actuellement un traitement croissant ou chronique (> 5 jours) par des corticostéroïdes ou un autre agent immunosuppresseur. Les utilisations suivantes des corticostéroïdes sont autorisées : doses uniques ; prémédication standard pour le paclitaxel, applications topiques (p. ex. éruption cutanée), aérosols inhalés (p. ex., maladies obstructives des voies aériennes), gouttes oculaires ou injections locales (p. ex. intra-articulaires), ou < 10 mg de prednisolone ou équivalent.
8. Le patient est traité au début du traitement à l’étude par l’un des médicaments suivants :
a. Médicaments connus pour être des inhibiteurs ou inducteurs forts ou modérés de l’isoenzyme du cytochrome P450 3A4 (CYP3A4), notamment des médicaments à base de plantes (voir le tableau 16).
b. Médicaments présentant un risque connu d’induction de torsades de pointes.
Remarque : le patient doit avoir arrêté les inducteurs forts pendant au moins une semaine et avoir arrêté les inhibiteurs forts avant que le traitement ne commence. Le passage à un autre médicament avant le début du traitement à l’étude est autorisé.
9. Le patient reçoit actuellement de la warfarine ou d’autres anticoagulants dérivés de la coumarine, à des fins de traitement, de prophylaxie ou autre. Un traitement par l’héparine, l’héparine de faible masse moléculaire (HBPM), le fondaparinux ou les nouveaux anticoagulants oraux (NACO) est autorisé.
10. Le patient présente une hypersensibilité connue et/ou une contre-indication au paclitaxel, à la prémédication standard pour le paclitaxel ou à d’autres produits contenant du Crémophore®.
11. Le patient présente d’autres pathologies graves et/ou incontrôlées concomitantes qui, selon le jugement de l’investigateur, contre-indiquent la participation du patient à l’étude clinique (par exemple, infection active sévère ou non contrôlée, hépatite chronique active, patients immunodéprimés, pancréatite aiguë ou chronique, pression sanguine élevée non contrôlée, maladie pulmonaire interstitielle, etc.)
12. Le patient a des antécédents connus d’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) (ce test n’est pas obligatoire).
13. Le patient présente l’une des anomalies cardiaques suivantes :
a. Insuffisance cardiaque congestive symptomatique dans les 12 mois suivant la période de sélection.
b. Antécédents d’insuffisance cardiaque congestive documentée (classification fonctionnelle III-IV de la New York Heart Association) ou cardiomyopathie documentée et fraction d’éjection du ventricule gauche (FEVG) < 50 % telle que déterminée par la ventriculographie isotopique (MUGA) ou l’échocardiogramme (ECHO).
c. Infarctus du myocarde ≤ six mois avant l’inclusion.
d. Angine de poitrine instable.
e. Arythmie cardiaque non contrôlée grave.
f. Péricardite symptomatique.
g. Intervalle QT corrigé selon la formule de Fridericia (intervalle QTcF) > 450 ms pour les hommes et > 470 ms pour les femmes, sur l’électrocardiogramme (ECG) lors de la sélection.
h. Le patient reçoit actuellement un traitement à l’aide d’un médicament présentant un risque connu de prolonger l’intervalle QT ou d’induire des torsades de pointes, traitement ne pouvant pas être interrompu ou remplacé par un autre médicament avant le début du traitement à l’étude.
14. Le patient souffre de troubles gastro-intestinaux (GI) ou de maladie gastro-intestinale qui peuvent altérer significativement l’absorption du traitement à l’étude (p. ex., maladies ulcéreuse, nausées non contrôlées, vomissements, diarrhée, syndrome de malabsorption ou résection de l’intestin grêle).
15. Les patients présentant un antécédent médicalement documenté ou un épisode dépressif majeur actif de trouble bipolaire (I ou II), de trouble obsessionnel-compulsif, de schizophrénie, des antécédents de tentative ou d’idées de suicide, des idées meurtrières (p. ex., risque de se faire du mal à soi-même ou d’en faire à d’autres personnes) ou des troubles de la personnalité sévères (définis selon le DSM-V (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) cinquième édition, ne sont pas éligibles. Remarque : pour les patients qui prennent des traitements psychotropes au moment de la visite de référence, la dose et le calendrier ne doivent pas être modifiés au cours des six semaines précédant le début du traitement à
l’étude.
16. Le patient présente d’autres tumeurs malignes antérieures ou concomitantes, à l’exception de ce qui suit :
carcinome basocellulaire ou épidermoïde ou autre cancer in situ traité de manière adéquate, cancer gastrique précoce ou gastro-intestinal complètement résecté par des procédures endoscopiques ou tout autre cancer dont le patient a été indemne de maladie pendant ≥ 3 ans.
17. Le patient a des antécédents de non-observance d’un traitement médicamenteux ou d’incapacité à donner son consentement.
18. Le patient utilise ou a utilisé simultanément un autre agent anticancéreux approuvé ou expérimental dans les 4 semaines suivant la randomisation.
19. La patiente est enceinte ou allaite. Les patientes qui présentent une gonadotrophine chorionique humaine élevée (hCG) au début de l’étude, élévation considérée comme associée à la tumeur, sont éligibles si les taux de hCG ne montrent pas le doublement attendu lorsqu’ils sont répétés cinq à sept jours plus tard, ou que la grossesse a été écartée par échographie vaginale.
20. Le patient a reçu un vaccin vivant dans les 30 jours suivant le début programmé du traitement de l’étude.
Remarque : les vaccins injectables contre la grippe saisonnière sont en général des vaccins antigrippaux inactivés et sont autorisés ; cependant les vaccins antigrippaux par voie intranasale (par ex., Flu-Mist®) qui sont des vaccins vivants atténués ne sont pas autorisés. Les vaccinations ou les rappels contre la COVID qui sont non vivants ne doivent pas être réalisés dans 30 jours suivant le début de l’étude.

Centre d'investigation

Terminée
Nom : Institut de Cancérologie de Lorraine - ICL
Ville : VANDOEUVRE-LES-NANCY (54)
RESPONSABLE MÉDICAL
Aucun responsable médical renseigné
CONTACT TECHNIQUE
Aucun contact technique renseigné

Référentiels Oncologik

Aucun référentiel n'est lié à cet essai.